Memoire
Sagesse
Resilience
RENFORCER LA MÉMOIRE, LA SAGESSE ET LA RÉSILIENCE DES PEUPLES AUTOCHTONES ET DES COMMUNAUTÉS LOCALES POUR FAVORISER UNE GESTION EFFICACE DE LA CULTURE ET DE LA BIODIVERSITÉ À GRANDE ÉCHELLE

Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle
Article 7– Le patrimoine culturel comme source de créativité
La création puise ses racines dans la tradition culturelle, mais s’épanouit au contact d’autres cultures.
Pour cette raison, le patrimoine, sous toutes ses formes, doit être préservé, valorisé et transmis aux générations futures, en tant que témoignage de l’expérience humaine et des aspirations, afin de promouvoir la créativité dans toute sa diversité et d’inspirer un véritable dialogue entre les cultures.
Je poursuis l’œuvre Memory of Colors unique en son genre, à la croisée de l’art, et de la socio‑ethnologie, à bord d’un volier qui parcourt le monde. Un voyage où vous êtes invités à participer, à partager la lumière et les couleurs que le monde choisit de nous offrir.

Notre Objectif
1.Notre ambition est de rendre visibles et de faire avancer les identités (mémoire), les pratiques (sagesse) et les projets à impact positif (résilience) dans des régions du monde à haute valeur culturelle et environnementale.
2. Nous souhaitons tirer parti des dynamiques artistiques et d’investissement pour mettre en lumière le patrimoine immatériel et matériel (pratiques culturelles et écosystèmes naturels).
3. La notion de gérance est au cœur de notre démarche. Notre objectif est de contribuer à construire un héritage significatif en collaboration avec un réseau de gardiens intègres et engagés.
Nos Moyens
1.Un voilier nous permettrait non seulement de rejoindre nos destinations, mais aussi de créer un espace inédit : un lieu de travail artistique et de préparation des projets à impact, combiné à des échanges de haut niveau sur site et des expositions médiatiques à bord (voiles et coque).
2. Un fonds de conservation permettrait de contribuer à la préservation des sanctuaires naturels et culturels, tandis qu’un véhicule à finalité spéciale offrirait l’opportunité de participer à des projets d’éco-hospitalité et de culture incluant les communautés locales rencontrées au cours de nos voyages.
3. Nos contributeurs sont des propriétaires privés partageant un désir commun : agir collectivement dans la dynamique artistique de « rendre visible » et dans l’engagement d’impact de « faire avancer ».
Notre Philosophie
1. Experience: des années de travail artistique et d’engagement à impact nous ont convaincus de la richesse que représentent la mémoire, la sagesse et la résilience au cœur des peuples autochtones et des communautés locales.
2. Complementarity: notre dynamique d’engagement n’est ni la première, ni la seule. Nous souhaitons nous insérer dans un réseau de collaborations autour des enjeux spécifiques de la conservation et de la régénération de la biodiversité.
3. Singularity: nos modalités (agiles, nomades – notre navire) et nos formats (focalisés, complémentaires – notre impact) nous permettent de naviguer selon une direction choisie, exploitant au mieux notre expertise et notre portée combinées.
Notre Cartographie
1. La conservation et la régénération de la biodiversité terrestre, marine et des eaux douces représentent le plus grand défi auquel l’humanité sera confrontée dans les décennies à venir. L’année 2030 a été définie comme une étape critique, et la « Décennie pour la restauration des écosystèmes » a été lancée par les Nations Unies pour accélérer les progrès.
2. Les points chauds de la biodiversité ont été cartographiés : ces zones, qui abritent des concentrations exceptionnelles d’espèces endémiques, subissent une perte d’habitat considérable. À elles seules, ces zones couvrent 1,4 % de la surface terrestre, mais hébergent 44 % des plantes vasculaires et 35 % des espèces de quatre groupes de vertébrés. Cela constitue une stratégie prioritaire pour concentrer les efforts.
3. Il y a environ 370 millions d’autochtones dans le monde. Ils possèdent, occupent ou utilisent jusqu’à 22 % des terres mondiales, qui abritent 80 % de la biodiversité mondiale. (…) Les zones gérées par les peuples autochtones représentent la forme la plus ancienne et souvent la plus efficace de conservation de la biodiversité.
Il reste environ seulement une cinquantaine d’ethnies authentiques encore à photographier.
1 « Biodiversity Hotspots For Conservation Priorities », Nature, February 2000
La couverture mondiale des zones conservées par les communautés autochtones est estimée à environ 13 % de la surface de la planète, incluant 400 à 800 millions d’hectares de forêts terrestres. »
(source : Programme des Nations Unies pour l’environnement)
1 « Biodiversity Hotspots For Conservation Priorities », Nature, February 2000

Utilisation de la Carte des Points Chauds de la Biodiversité
Cette carte des points chauds de la biodiversité sera combinée avec le registre des territoires et zones conservés par les peuples autochtones et les communautés locales (ICCAs). Ce croisement permettra de :
1. Identifier les destinations clés :
Repérer les régions de grande richesse biologique et culturelle où des efforts de conservation sont essentiels.
2. Planifier des itinéraires à faibles émissions :
Concevoir des parcours terrestres et maritimes respectueux de l’environnement, minimisant notre empreinte carbone.
3. Soutenir les gardiens locaux :
Travailler directement avec les communautés locales pour renforcer leurs initiatives de préservation et régénération.
En associant ces données, nous pourrons non seulement célébrer la diversité culturelle et écologique, mais également agir en faveur de leur préservation à l’échelle mondiale.
: https://www.iccaregistry.org/
Notre Vision
1. Une conservation équitable, qui valorise et soutient la gérance environnementale des peuples autochtones et des communautés locales, représente la voie principale vers une conservation durable et efficace de la biodiversité. » Nous souhaitons accompagner des leaders de la « Nouvelle Génération » au sein de leurs groupes respectifs pour porter des solutions innovantes conciliant savoirs ancestraux et approches modernes afin d’atteindre une masse critique viable.
2. Les ressources avancent à la vitesse de la confiance. » Notre dynamique d’engagement repose sur l’établissement de relations directes entre les propriétaires de ressources (financières et expertes) et les porteurs de projets. Nous avons identifié des partenaires (voir la section dédiée ci-dessous) qui feraient partie d’un réseau sélectionné et axé sur l’impact.
3. Associer mémoire ancestrale, sagesse et résilience aux sciences et technologies modernes permettrait de maximiser l’impact de nos initiatives.
Notre Travail
Nos contributions reposent sur trois piliers :
1. Mémoire : notre travail artistique consistera à documenter les identités.
2. Sagesse : notre travail de recherche visera à collecter des pratiques liées à la biodiversité.
3. Résilience : notre travail d’impact soutiendra les leaders locaux de la Nouvelle Génération dans leurs efforts de conservation et/ou de régénération.
Concernant ce dernier pilier, chaque fois que la propriété foncière et l’accès aux infrastructures le permettent, des modèles commerciaux à impact positif, tels que des cultures spécialisées (café et fèves de cacao, ingrédients botaniques pour cosmétiques et usages médicinaux) Cela pourrait se faire en collaboration avec des partenaires commerciaux responsables pour générer des ressources financières supplémentaires tout en préservant l’intégrité de l’initiative (par exemple : commerçants durables, éco-hôteliers, agences de voyages expérientielles).
2 UICN, « Le rôle des peuples autochtones et des communautés locales dans une conservation efficace et équitable », Ecology and Society, 2021
3 https://www.amini.ai/
1.Les saisons de navigation et les recherches préliminaires sur les solutions de gérance les plus prometteuses des communautés locales guideront la conception d’un itinéraire à faibles émissions, par voie terrestre et maritime, pour atteindre chaque année un certain nombre de points chauds.
Notre Calendrier Annuel
Des dates des Nations Unies pourraient servir de jalons d’activation pour mettre en lumière ces initiatives :
22 mai – Journée internationale de la biodiversité
9 août – Journée internationale des peuples autochtones (UNESCO, Paris)
Conférences des Nations Unies sur la biodiversité, le changement climatique, les assemblées générales ou les semaines régionales pour le climat.
Des formats interactifs seront conçus pour promouvoir l’intersection des décisions ancestrales et innovantes (ex. : « Comité exécutif Nouvelle Génération » réunissant des leaders locaux dans les capitales pour des échanges de meilleures pratiques, ou « Retraites de Leadership » pour rassembler nos donateurs à bord de notre navire ou sur site)..
Notre Dynamique d’Engagement
Orientée solutions : notre engagement est porteur d’espoir et axé sur des actions significatives et inclusives.
Basée sur le leadership : nos réseaux et formats mettent en valeur et connectent des décideurs innovants.
Focalisée mais évolutive : nos contributions amplifient et accélèrent des dynamiques existantes tout en permettant leur réplication réfléchie.
https://www.un.org/en/climatechange/events
Nos Partenaires
1. Financiers : donateurs philanthropiques (Wyss, Lombard Odier), entreprises à mission (Patagonia Trust).
2. Expertise : sciences (centres de recherche et banques de semences), technologie (services d’intelligence géospatiale).
3. Communications : art (expositions à bord et sur site), impact (formats numériques et en présentiel de leadership).
Nos Besoins Financiers
La réalisation des six premiers mois d’exploration et de travail photographique, comprenant une navigation au Brésil (Mata Atlântica et Mato Grosso), en Guyane française, au Suriname, au Venezuela, en Colombie, en Équateur et en Bolivie, nécessiterait un financement de 650 000 euros.
En tant que sponsor de notre voyage, ce serait un honneur de voir votre logo imprimé sur nos voiles pour vous associer à notre démarche tout au long du trajet.
Notre Équipe Centrale
Conception des voyages d’exploration et travail artistique : Jaime Ocampo-Rangel
Initiatives économiques et à impact : Caroline Viot
Relations publiques et artistiques : Floria Benavides est Angela aussi curateur lors des plus Exposition, notamment pour des artistes latino américain.
Mort, dis-moi ce que tu veux faire dans quel resto tu veux manger ?
Jaime Ocampo-Rangel
Jaime, franco-colombien, est né à Cali. Il y a passé son enfance avant de vivre son adolescence entre New York et l’Espagne. Il a obtenu un diplôme en communication, avec une spécialisation en marketing et audiovisuel, à La Sorbonne, à Paris.
Par la suite, il a fondé un studio photographique ainsi qu’une agence de publicité pour développer des projets culturels et créatifs. Sa première campagne photographique, intitulée « Les plus belles robes du cinéma à la Cinémathèque française », a été exposée au Pavillon des Arts. En 2002, il a créé le premier centre commercial de photographie en ligne en France, *levillagephoto*.
Photographe, naturaliste et marin, Jaime est également l’auteur de son œuvre la plus engagée, *Memory of Colors*. Ce projet photographique, fruit d’un voyage autour du monde (quarante tribus, plus de deux mille portraits, dix années de voyage), témoigne de la richesse culturelle des groupes ethniques menacés par la mondialisation. Soutenu par l’UNESCO, *Memory of Colors* a été lancé à Paris en 2010 au siège de l’UNESCO, durant l’Année internationale du rapprochement des cultures. Une application mobile a également été créée à cette occasion.
Jaime a également fondé une école amérindienne destinée à transmettre les traditions liées à la culture et à l’utilisation des plantes médicinales, ainsi que leurs traitements. Dans la région amazonienne, en collaboration avec le ministère brésilien de l’Éducation, il a initié un projet pour préserver le patrimoine culturel des peuples indigènes ([http://www.educacao.am.gov.br/educacao-escolar-indigena/](http://www.educacao.am.gov.br/educacao-escolar-indigena/)).
L’école est située sur des terres appartenant au peuple Cipia. Ses principaux objectifs consistent à assurer la transmission culturelle de « la mémoire des anciens » aux membres sélectionnés de la tribu et à des citoyens éclairés de la planète, afin de préserver la tradition des prières et des savoirs biologiques du peuple Cipia.
LE TRAVAILLE SUR LA COULEUR
Jaime ne se limite pas à la couleur comme donnée physique ou esthétique :
il la relie aux cultures et traditions humaines en photographiant des peuples autochtones dans leurs habits rituels et quotidiens. La couleur devient une mémoire vivante, un langage universel qui raconte l’identité, la spiritualité et l’histoire des civilisations.
Son approche est à la fois photographique, anthropologique et poétique, plaçant la couleur au croisement de la lumière, de la matière, des symboles et de la mémoire collective.
En ce sens, Ocampo-Rangel se situe dans la lignée de penseurs comme Goethe ou Lévi-Strauss, mais utilise la photographie, presque scientifique et de très haute définition, comme moyen de révéler la couleur dans la diversité humaine.
Pour Jaime la couleur n’est pas seulement un outil visuel, mais une métaphore de la pluralité du monde, un pont entre science, art, mémoire des peuples et spiritualité.
Caroline Viot
Depuis 2012, Caroline travaille dans le domaine du développement économique et de son financement en tant que conseillère senior.
Elle se concentre sur les opportunités d’investissement liées au climat et à la nature, notamment dans les secteurs de l’agriculture régénérative et du recyclage des biomasses.
Son expérience couvre le continent africain (actuellement : Ghana, Cameroun, Zambie, Ouganda – auparavant : Sénégal, Côte d’Ivoire, Kenya, Mozambique) et elle développe actuellement des activités en Amérique du Sud (principalement : Brésil, Colombie).
Ses clients incluent généralement des institutions publiques internationales (financières : FMI, Banque mondiale et/ou spécialisées dans la préservation de l’environnement : PNUE, UICN), en collaboration avec des entreprises internationales, des acteurs privés locaux (petites et moyennes entreprises) et des organisations à but non lucratif (ONG).
Floria Benavides
Repentante artistique et culturel auprès des musées, notamment en Allemagne.
Floria est une personne de terrain. Polyglotte. Elle Excelle avec les contacts des Ambassades, La radio et la television. Curateur pour des Artistes Latino-Americans
Genesis
« J’ai décidé de capturer toutes les nuances et teintes de la Terre, et j’ai été submergé par la beauté extraordinaire de ces peuples, par leur respect pour l’environnement et par leur lutte difficile pour préserver leur identité et leur mode de vie. »
Sur la quête de Jaime pour documenter la « Mémoire des Couleurs » à travers le monde
En 1999, après sa rencontre avec le peuple Kogi dans son pays natal, la Colombie, l’artiste franco-colombien Jaime Ocampo-Rangel a entrepris de documenter des groupes ethniques en associant chacun à une couleur spécifique à leur identité culturelle. Ensemble, ces couleurs forment l’arc-en-ciel de l’existence humaine. Dans de nombreuses civilisations à travers le monde, l’arc-en-ciel symbolise un pont reliant le monde moderne à son passé.
Sur le processus de Jaime pour entrer en contact avec les groupes locaux
Un travail préparatoire est essentiel avant chaque expédition en mer. Cela implique des recherches sur les groupes locaux, en collaboration avec des anthropologues, et la sélection de photographies précédentes qui seront présentées aux membres des communautés pour transmettre la philosophie de l’artiste et l’objectif de sa visite, au-delà des mots. Chaque photographie est prise sur place, sans retouche, avec en arrière-plan une couleur choisie par le groupe local.
Sur la nécessité de poursuivre et d’approfondir ce travail
Depuis le début de ce projet, plus de 70 % des groupes identifiés par Jaime ont disparu. Il reste environ 200 tribus « véritablement authentiques ». Pourtant, chacune d’entre elles a encore tant à nous enseigner – sur le bonheur individuel et collectif, sur la santé, et sur la gestion responsable de l’environnement, le tout en harmonie avec la nature.
Nous devons « rendre visible » et « faire avancer » ce qui peut encore l’être, agir ensemble avec un réseau de leaders intègres, et relier des dynamiques très spécifiques à des initiatives globales. L’espoir est que notre proposition d’associer art et investissement pour générer un impact convaincra les réseaux financiers et d’expertise de collaborer avec nous.
« Je voyage loin des sentiers battus pour collecter ces images de notre humanité.
Mon plus grand souhait est que les leaders de tous horizons agissent pour protéger ces trésors de l’existence humaine. »
Memory of Colors
Portraits des derniers groupes ethniques authentiques de la Terre
En 1999, après sa rencontre avec le peuple Kogui dans son pays natal, la Colombie, Jaime Ocampo-Rangel a décidé de documenter les groupes ethniques menacés par la mondialisation, en associant chacun à une couleur spécifique à leur identité culturelle.
Chaque groupe apparaît devant un fond de la même couleur que leur peau, leurs vêtements ou leurs objets spirituels.
Le blanc de leurs vêtements représente les Kogui de Colombie, l’ocre pour la peau des Himbas de Namibie, le rouge des Wayana, le bleu du turban des Touaregs…
La beauté unique de chaque groupe se révèle à travers leurs couleurs distinctes. Ensemble, ces couleurs forment l’arc-en-ciel de l’existence humaine.
Dans de nombreuses civilisations à travers le monde, l’arc-en-ciel représente symboliquement un pont reliant le monde moderne au monde du passé.

La sensation de la Couleur
La couleur est la musique de la lumière :
les ondes qui touchent la matière s’y perdent ou s’y reflètent, et ce qui nous parvient aux yeux
n’est qu’un éclat choisi par le monde pour se montrer.
J’ai l’impression que les grands anthropologues, pendant des siècles, n’ont pas pu la percevoir d’un point de vue holistique, car les documents scientifiques étaient en noir et blanc.
« La couleur dérange presque », disait Michel Pastoureau.
Jaime est, pour l’instant, le premier et le seul à avoir réussi à les identifier et à les réunir en une œuvre unique photographique et filmique, à la croisée de l’anthropologie, de l’ethnologie et de l’art.
La couleur est une perception visuelle produite par l’interaction de la lumière avec la matière et par le traitement de cette information par l’œil et le cerveau humain.
La lumière visible n’est qu’une petite partie du spectre électromagnétique, qui comprend aussi les ondes radio, les micro-ondes, l’infrarouge, l’ultraviolet, les rayons X et les rayons gamma. Cette lumière visible correspond à des ondes électromagnétiques dont la longueur d’onde est comprise entre environ 380 nanomètres (violet) et 750 nanomètres (rouge).
Lorsqu’un rayon lumineux frappe un objet, la matière absorbe certaines longueurs d’onde et réfléchit ou diffuse les autres.
La couleur que nous voyons correspond justement aux longueurs d’onde réfléchies ou transmises vers notre œil. Par exemple, une feuille apparaît verte car elle absorbe surtout le rouge et le bleu, mais réfléchit le vert. En résumé : La couleur est une sensation visuelle liée aux ondes électromagnétiques de la lumière visible.
La matière agit comme un filtre naturel, absorbant une partie des longueurs d’onde et réfléchissant celles qui définissent la couleur perçue.
On peut conclure que la couleur n’existe pas en soi. Elle est le résultat de la lumière.
« Par exemple, la nuit, allumez toutes les lumières possibles, puis éteignez-les une à une : vous verrez les couleurs s’effacer peu à peu. Une fois plongé dans l’obscurité totale, il ne reste plus aucune couleur. »

